jeudi 23 janvier 2014

Challenge fini + extrait chapitre 12 (ou 13, je sais plus ^^)

Hé voilà le premier jet est terminé !! TADAM !

Alors sinon questions statistiques ça donne :

109 pages
88 975 mots
519 590 sec

Et comme vous êtes sages, je poste un dernier extrait  :

Jarod resta silencieux. Lucretia se sentait mal à l’aise, elle l’avait dérangé pour rien. Lui offrant peut-être de nouveaux espoirs alors qu’au final sa situation restait toujours aussi précaire. Si Bates ne trouvait pas ces photos, alors ce serait fichu.
— Il y a peut-être quelque chose, déclara finalement Hunt.
Son ton n’était pas assuré mais le simple fait qu’il cherche lui aussi à chercher de nouvelles pistes redonnait confiance à la jeune femme.
— Quoi donc ?
— Je suis sorti avec une fille… Mais avant que tu ne dises quoi que ce soit, je ne peux pas confirmer les dates. — Mais je l’ai vue en avril.
— Ah ? Comment s’appelle-t-elle ? Qu’est-ce que vous avez fait ?
— Wahou, hé tu connais le concept de vie privée ?
(…)
— Ça ne coûte rien d’essayer, mais je t’avoue que je ne suis pas aussi optimiste que toi.
— Je m’efforce de l’être, expliqua-t-elle.  Je sais que mes idées peuvent paraitre un peu saugrenues, mais crois-moi sur une chose : mon travail m’a souvent montré que ce sont souvent les petits détails ou les théories les plus folles qui donnent parfois les meilleurs résultats. Et vu notre situation, on ne peut pas se permettre de les occulter.
— Ouais… Il faut espérer que ce nouvel avocat soit digne de ses tarifs, et qu’il fasse des miracles.
— J’espère surtout qu’il aura confiance en nous et qu’il traite cette affaire avec sérieux, pas comme celui qui t’a défendu la dernière fois.
Jarod eu un reniflement plein de dédain.
— J’avais pas les moyens de me payer un ponte. Ce type a accepté mon cas en pro bono… alors forcément…
— Oui. Pourvu que Bates puisse retrouver ces photos de Walker et Docks ! Si mes parents ont bien récupéré mes affaires, alors ils ont le téléphone et les clichés. Il faut juste prier pour que l’accident n’ait pas cassé mon mobile.
— Jarod ?
Lucretia se retourna au son de cette nouvelle voix qui ne faisait pas écho dans son crâne mais provenait bien de sa cellule. Ulysses se tenait dans l’embrasure de la porte grillagée. Il la contemplait d’un air à la fois surpris et inquiet. La jeune femme réalisa alors qu’elle parlait à voix haute avec Jarod et que son ami (son amant ?) avait tout entendu. Elle était dans de beaux draps.
— Ah salut. Je me demandais ce que tu faisais, répondit-elle l’air de rien.
Elle espérait secrètement qu’il venait d’arriver et penserait à une simple divagation de sa part qu’il faudrait mettre sur le compte du stress et de l’enfermement. Malheureusement, elle n’eut pas cette chance.
— Mais à qui est-ce que tu parlais ?

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